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mercredi 2 janvier 2013

Les stars du Boogaloo, souvenirs. - portrait n°1

Toute ressemblance etc etc…... Evidemment c'est un roman.

Le chat et « chui chui chui la makrel »


Je commence par eux car ils étaient persuadés et racontaient à tout le monde qu’ils furent les premiers clients du Boogaloo, ce que l’on leur a laissé croire, le client est roi, mais ce n’est pas le cas. Les premiers clients comme ça peut-être…

Lui, le Chat, ancien flic d’une métropole, et aujourd’hui vendeur de sommeil, a traversé plusieurs fois la rue pour son whisky glace eau gazeuse les soirs ou COMO ANTES envoyait la sauce au Boogaloo. Il était la plupart du temps accompagné de sa bavarde pique assiette à perruque.


Le chat et sa Makrel c’etait souvent des problèmes d’argent. Le chat a toujours eu du mal à sortir les 6€ pour son whisky et les 3€ du monaco 35 cl de la Makrel. Pendant qu’il cherchait ses sous dans son portefeuille en exhibant toujours fièrement sa vielle carte de police, elle piquait en lousdé les touilleurs (mélangeurs) Saint James en forme bambous. Elle n’a jamais compris qu’elle pouvait les emporter gratuitement en le demandant….. Un jour elle s’est faite griller et ça s’est terminé par : « Pas la peine de les mettre dans ton sac en cachette, on te les offre avec plaisir ». la petite phrase qui provoque des chaleurs assez visibles au niveau du visage. Mais ça lui allait à merveille, on sentait l’habitude certainement. Car elle était élégante la Makrel, on ne peut pas lui retirer ça, souvent habillée en robe folklorique remarquablement conçue par ses soins et régulièrement avec une jolie coiffe sur ses faux cheveux. Quoiqu’elle porte, elle se mettait en valeur, surtout ses seins magnifiquement portés (enroulés dans son énorme soutien-gorge).


Lorsque le chat partait sans dire au revoir, comprenez sans payer, et que l’on avait pas eu le temps de lui faire signer sa petite note de chromes, il l’oubliait naturellement en dessoulant, euh en dormant. C’était donc définitivement perdu.
Je te remercie le Chat car grâce à toi les crédits ont disparu du Boogaloo.


Le chat comme beaucoup appréciait la plastique de la patronne du Boogaloo, ce qui faisait baisser ma côte et surtout rendait la Makrel folle de jalousie. Elle lâchait alors son venin dans tout Sainte-Luce aux écouteurs qui n’ont que ça comme plaisir et qui bien sur s’empressaient de le répéter à ceux qui le répétaient à ceux qui nous le répétaient.

Vous nous manquerez.

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